Je suis directeur de recherche en sociologie INRAE, membre de l'IRISSO depuis septembre 2021. Auparavant j'étais membre du CESAER à Dijon. Mes recherches portent sur les classes populaires, le militantisme, les territoires ruraux, le pouvoir local et le travail dans l'agroalimentaire, avec une approche combinant socio-histoire, ethnographie et sociologie politique. Je suis membre du comité éditorial de la revue Le Mouvement Social.
Dans Le Bourg et l'Atelier. Sociologie du combat syndical (Agone, 2016), j'explore les rapports sociaux et politiques dans une petite ville rurale et industrielle de 3 000 habitants. L'ouvrage restitue le quotidien d'ouvriers syndicalistes d'un atelier SNCF. Comment s'engager quand tout pousse à la désyndicalisation ? Comment s'organiser collectivement face aux réorganisations managériales ? Explorant les réalités du militantisme en entreprise et en milieu rural, l'ouvrage souligne que les clivages de classes, loin d’avoir disparu, se sont reconfigurés dans un nouveau contexte politique et économique – contexte où l’engagement à gauche peut aussi se perpétuer dans des conditions renouvelées.
Cette étude s'inscrit dans une réflexion générale sur la fabrication spatiale des positions sociales et politiques ayant donné lieu à la coordination de plusieurs ouvrages collectifs et dossiers de revue : Pouvoir local et classes populaires en milieu rural (revue Politix, 2022, avec I. Bruneau et M. Durand), Mondes ruraux et classes sociales (EHESS, 2018, avec I. Bruneau, G. Laferté, N. Renahy), Campagnes populaires, campagnes bourgeoises (revue Agone, 2013), Mondes ruraux (revue Politix, 2008, avec E. Doidy, N. Renahy), Sociabilité et politique en milieu rural (PUR, 2008, avec A. Antoine)...
Dans Le Parti des communistes. Histoire du PCF de 1920 à nos jours (Hors d'atteinte, 2020), je propose un vaste panorama d'un siècle de communisme en France à travers ses militants, femmes et hommes. Au-delà des seuls dirigeants nationaux, ce parti est aussi le fruit de l’engagement de nombreux syndicalistes, militants associatifs, femmes se revendiquant ou non du féminisme ou encore travailleurs immigrés investis dans les luttes anticoloniales. Le phénomène communiste est un observatoire pour analyser les possibilités et difficultés de l'engagement des classes populaires et saisir les enjeux de leur représentation politique.
Cette synthèse historique s'inscrit dans le prolongement de deux autres ouvrages : Servir la classe ouvrière. Sociabilités militantes au sein du PCF (Presses universitaires de Rennes, 2010) scrute l’organisation des militant.es dans les quartiers, les villages et les usines à partir d'un regard porté sur une diversité de territoires ruraux et urbains, tandis que Le Communisme désarmé. Le PCF et les classes populaires depuis 1970 (Agone, 2014) analyse les raison du déclin de l'influence du PCF dans les milieux populaires. J'ai également coordonné des publications collectives avec des historiens : Les naissances du communisme en France. 1915-1925 (Le Mouvement Social, 2020, avec E. Bellanger, P. Boulland), Les Territoires du communisme. Elus locaux, politiques publiques et sociabilités militantes (Armand Colin, avec E. Bellanger).
Mon arrivée à l'IRISSO vise à développer un programme de recherche socio-historique autour du travail et de la santé dans les industries agroalimentaires. Ce projet me conduit à m'inscrire davantage dans le domaine de la sociologie et de l'histoire du travail, tout en prolongeant un questionnement sur les rapports de classe dans les entreprises. A travers le cas des industries de l'alimentation au 20e et 21e siècles, il s'agit d'explorer les évolutions des rapports entre agents d’encadrement et agents d’exécution, tout particulièrement les infléxions de la gestion des carrières de travailleurs-ses soumis.es à une forte pénibilité. Comment les acteurs managériaux s’approprient-ils les enjeux de santé au travail ? Comment les responsables des ressources humaines perçoivent-ils et gèrent-ils la carrière professionnelle des personnes affectées à des tâches pénibles et potentiellement dangereuses ? En quoi les pratiques et non-pratiques de prévention de la santé au travail peuvent-elles nous renseigner plus généralement sur les mutations des rapports entre les différents groupes sociaux dans les entreprises et au sein de la société ? Ces questionnements sont abordés à partir du terrain des biscuiteries industrielles qui se sont développées en France à partir de la seconde partie du 19e siècle, avec une main d'oeuvre essentiellement féminine, et ont connu de profondes mutations jusqu'à aujourd'hui.
Encadrement de thèses en cours
Pauline Liochon : Vivre et veillir dans le périurbain. Trajectoires de femmes ouvrières de l’agroalimentaire. Université de Paris Dauphine PSL.
Léo Rosell : Ambroise Croizat (1901-1951), fils d'ouvrier, ministre du Travail et "père oublié" de la Sécurité sociale. Directeur principal : Jean Vigreux (Université de Bourgogne).
Aldo Rubert : Analyse localisée et biographique de la mobilisation des « Gilets Jaunes ». Co-tutelle Université de Bourgogne – Université de Lausanne (Olivier FIllieule).
Angelo Moro : mobilisation et politisation des ouvriers dans l’Italie contemporaine. Une enquête comparative en milieu rural à l’articulation du travail industriel et du hors travail. Université de Bourgogne (en co-direction avec Stéphane Beaud).
Thèses soutenues :
Maeva Durand : Les invisibles : enquête localisée sur le rapport au politique des femmes de classes populaires, 2021. Université de Bourgogne (co-direction avec Catherine Achin).
Mischi J. (2022), « Les patrons pensent pour nous ». Les notabilités rurales et l’exclusion politique des ouvriers, Politix, vol. 1, n°137, p. 27-54
Durand M., Bruneau I., Mischi J. (2022), Penser la production des distances au politique. Une entrée par l’analyse des relations entre le pouvoir local et les classes populaires en milieu rural, Politix, vol. 1, n°137, p. 9-25
Bellanger E., Boulland P., Mischi J. (2020), Les naissances du communisme en France, Le Mouvement Social, vol. 3, n°272, p. 3-15
Boulland P., Mischi J. (2020), « Une nécessaire opération de reclassement ». Sociobiographie du Comité directeur de la SFIC (1920-1925), Le Mouvement Social, vol. 3, n°272, p. 17-39
Mischi J. (2019), Working-class politics and cultural capital: Considerations from transformations of the French left, The Sociological Review, vol. 67, n°5, p. 1034-1049
Mischi J. (2018), Le syndicalisme face à la clôture du champ politique, Savoir/Agir, vol. 45, n°3, p. 25-35
Laurens S., Mischi J. (2018), The uneasy journey of counter-school culture in the country of cultural capital theory, Ethnography, vol. 19, n°4, p. 479-495
Mischi J. (2017), Lʼidentité de classe en politique, La Pensée, vol. 4, n°392, p. 58-69
Boulland P., Jérome V., Mischi J., Palheta U. (2017), À gauche de la gauche : des partis entre désencastrement social et vide stratégique, Mouvements, vol. 89, n°1, p. 78-89
Mischi J. (2016), Engagements ouvriers à la campagne : les syndicalistes d’un bourg industriel, Pour, vol. 229, n°1, p. 93
Mischi J. (2015), Le bourg, l’atelier et le syndicat, Mouvements, vol. 84, n°4, p. 56-63
Boulland P., Mischi J. (2015), Promotion et domination des militantes dans les réseaux locaux du Parti communiste français, Vingtième Siècle, vol. 126, n°2, p. 73-86
Mischi J. (2014), Des « paysans » chez les cheminots, Sociétés contemporaines, vol. 96, n°4, p. 109-136
Mischi J. (2013), Ouvriers ruraux, pouvoir local & conflits de classes, Agone, n°51, p. 7-25
Mischi J. (2013), « Un gars que j'avais sous mes ordres est devenu maire », Genèses, vol. 93, n°4, p. 98-117
Lomba C., Mischi J. (2013), Ouvriers et intellectuels face à l'ordre usinier, Actes de la recherche en sciences sociales, vol. 196-197, n°1, p. 4-19
Mischi J. (2013), Contested rural activities: Class, politics and shooting in the French countryside, Journal of Organizational Ethnography, vol. 14, n°1, p. 64-84
Mischi J. (2013), Savoirs militants et rapports aux intellectuels dans un syndicat cheminot, Actes de la recherche en sciences sociales, vol. 196-197, n°1, p. 132-151
Mischi J. (2012), Cheminots et cégétistes : s'engager au nom du collectif, Savoir/Agir, vol. 22, n°4, p. 51-59
Mischi J. (2012), Observer un collectif militant en milieu populaire, Politix, vol. 4, n°100, p. 113-128
Mischi J. (2012), Protester avec violence. Les actions militantes non conventionnelles des chasseurs, Sociologie, vol. 3, n°2, p. 145-162
Mischi J. (2012), The French Communist Party and the working classes (1920s–1970s): A perspective from local activism, French Politics, vol. 10, n°2, p. 160-180
Laurens S., Mischi J. (2011), Les politiques de « revalorisation du travail manuel » (1975-1981), Agone, n°46, p. 33-54
Mischi J. (2011), Gérer la distance à la « base ». Les permanents CGT d'un atelier SNCF, Sociétés contemporaines, vol. 84, n°4, p. 53-77
Boulland P., Ethuin N., Mischi J. (2008), Les disqualifications des gauchistes au sein du PCF. Enjeux sociologiques et stratégiques, Savoir/Agir, n°6, p. 29-39
Mischi J., Renahy N. (2008), Pour une sociologie politique des mondes ruraux, Politix, vol. 3, n°83, p. 9-21
Mischi J. (2008), Les militants ouvriers de la chasse, Politix, vol. 3, n°83, p. 105-131
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